…and the winner
is… glyphosate ! Champion toutes catégories de l’hypocrisie politique. Puissance des
lobbies, faiblesse de l’exécutif, veulerie des élus des régions agricoles, tout
est encore en place pour nous laisser empoisonner en toute quiétude. Mais peut-être
sommes-nous tous des insectes nuisibles qu’il faut éliminer ? Les cancers
explosent, on sait que le glyphosate est ″potentiellement″
dangereux, mais on continue à l’autoriser pendant trois ans. A contrario ″90″
sur les routes secondaires est peut-être mortel ? En quelques semaines, on
déboulonne tous les panneaux pour les remplacer par le 80, toutefois personne
ne le demandait ! Et pourtant on l’a fait à titre expérimental, au nom du
sacro-saint principe de prÉcaution. Alors dans
ces conditions pourquoi autoriser un toxique pendant trois ans ? Mais nous attendons un remplaçant efficace,
dit le gouvernement. Et Nicolas H. avala une couleuvre de plus sans rien dire ;
ainsi dépeupla-t-il la France de ces reptiles pourtant si utiles… c’est là
qu’il aurait dû démissionner !!! Mourez tranquillement braves gens, nos élus
veillent sur vos cancers. A-t-on fait la balance entre le coût global des
chimios, scanners, résonnances magnétiques, chirurgies, radios, suivis,
rééducations, soins divers et le surcoût de l’abandon de cette saloperie ?
Regardez la courbe d'augmentation des cancers, elle est parlante non ? … Ah les cons !
C'est le fric et ceux qui le possèdent qui gouvernent, les élus ne sont que des faire valoir, le véritable pouvoir appartient au peuple, mais ce con ne le sais pas et n'est pas capable de mener une action qui fasse plier les lobbys
RépondreSupprimerAmicalement
Claude
Je sors à l'instant de l'hosto, on m'a diagnostiqué un cancer du Collomb. Je crois que je vais me faire soigner à Lyon !!!!!
RépondreSupprimerCollomb serait-il le cancer de Macron ?
SupprimerJe suis dans les statistiques, hélas . Mais ceux qui laissent faire l'empoissonnement de la planète le seront aussi .
RépondreSupprimerLa FNSEA n'est pas innocente dans cette affaire, elle qui fait pression tant sur les élus que sur ses adhérents pour l'utilisation intensive des pesticides. Si l'on remonte la chaîne des responsabilités, les grandes surfaces qui refusent de payer les exploitants agricoles à leur juste rétribution, pour pratiquer des prix de ventes toujours plus bas, participent aussi à la spirale perverse. Et au final nous qui ne voulons pas payer les tomates ce qu'elles valent...
SupprimerDes avancées avec la marque c'est qui le patron ? à suivre .....
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