Pourquoi ce blog ?

Ce blog, non subventionné par le Qatar, cependant pas moins niais qu'un autre, est destiné à promouvoir les idées républicaines mais aussi à évoquer l'aspect étrange de notre société et puis, enfin faire un peu de bruit autour de mes livres...

vendredi 27 octobre 2017

Leçon d'humilité...

Dédicacer son livre dans une librairie ou lors d’un salon peut représenter une véritable épreuve et quelquefois même une leçon d’humilité. Pour commencer, la position assise de l’auteur, derrière sa pile de livres, par rapport à la verticalité du chaland, place ce dernier en position de supériorité. Le regard souvent méprisant pour ce « pauvre-homme-obligé-de-s’abaisser-à-vendre-ses-livres-lui-même », en dit long sur le sentiment du public ; un peu comme s’il considérait un étron sur un trottoir. Même un mauvais livre demande autant de travail qu’un bon ! alors, que diable, un peu de respect pour la besogne ! Faire la retape frise la prostitution. Le « Tu montes chéri ? » est remplacé par : « Aimez-vous les romans policiers ? ». Si la réponse est : NON ! L’envie de répéter ce que Cambronne répondit aux généraux anglais, peut se lire dans mes yeux, en opposition complète avec mon sourire niais (il est naturel chez moi). Mais de temps-en-temps les auteurs ont droit à une pépite. Voici une scénette vécue par moi, l’année dernière et absolument authentique, alors que j’étais invité dans une très grande librairie !
Un homme s’approche de mon stand, prend en main l’un de mes livres, le retourne pour en lire la 4e de couverture, me regarde et demande :
-         Vous êtes flic ?
-         Non je suis auteur de romans policiers, guide-conférencier dans un musée et consultant (que j’étais encore).
-         Ah oui ! Que des métiers de faignants !
-         Et vous que faites-vous dans la vie ?
-         Moi, j’cherche du travail…

Étant invité par une libraire charmante, il n’a pas pris mon livre en travers de la gueule, oups pardon ! de la figure, mais l’envie m’en démange encore aujourd’hui. Ah le maudit con !      

vendredi 20 octobre 2017

Dénonce ton porc !

Je dois dire que je reste dubitatif sur la formule. Oui il faut dénoncer TOUS les harcèlements qu’ils soient oraux, physiques ou même allusifs. En revanche sur la forme j’hésite. Contrairement à ce que nous dit un certain polémiste télévisuel, comparant l’anonymat à celui des ″bons Français″, envers les juifs, pendant la guerre ; il faut que la dénonciation reste anonyme. Nous savons que 95 % de celles qui dénoncent leurs patrons et signent sont licenciées dans le mois suivant. Avec les hommes politiques ou les stars du show-biz, elles peuvent se retrouvent avec un procès en diffamation. En revanche les noms des agresseurs, eux doivent être connus et publiés. Chères lectrices quand un monsieur vous fait un gringue un peu trop lourd ou incisant, si vous ne connaissez pas son nom, n’hésitez pas à le prendre en photo et balancez-le sur les réseaux sociaux. À mon avis ça lui fera passer le goût de la chose pour un bout de temps. Le ″coucou la voilà″ dans le métro, une ch’tite photo sur fesses-bouc et le monsieur la gardera sagement dans son slip jusqu’à la retraite de cette dernière. Oui il arrive que les zézettes se mettent en retraite avant leur propriétaire. Chères lectrices n’hésitez plus à balancer sur la toile les photos de ces porcs. En plus ça nous fera passer un bon moment à les regarder ! Et surtout ça calmera les velléités des candidats à la ″porcitude″. Ah les cons !

vendredi 13 octobre 2017

Venez-y...

j'y serai pour vous dédicacer mon nouveau bébé

jeudi 12 octobre 2017

IL EST SORTI !

4e de couverture : Quel rapport peut-il y avoir entre un meurtre perpétré à Lyon et un double assassinat en Afrique ? Qui pilote Black cloud, cette armée privée chargée de la sécurité d’un énigmatique laboratoire agronomique ? Les réponses sont-elles à Miami ou en Suisse ? Telles sont les questions qui se posent à Fabienne Quinot, la jeune et jolie commissaire de la brigade criminelle de Paris. Le commissaire Georges Taillade, son ancien professeur de criminologie, lyonnais, parviendra-t-il à l’aider dans cette recherche ? Pourquoi, lui aussi devient une cible ? Pierre Couvreur le journaliste, compagnon de Fabienne, éclaircira certaines réponses.

Jean-Michel ROCHE nous emmène cette fois sur trois continents dans une course folle, où les rebondissements révèlent certaines dérives véritables dont notre société est capable. Après Étranges nouvelles, Affaires étranges au Quai des Orfèvres, Sans Tête, La Pierre de Sang, l’auteur, dans ce cinquième opus, pose, non sans humour, des questions sociétales sur la puissance et les méthodes des multinationales agroalimentaires.
Vous pouvez le commander directement ICI

vendredi 6 octobre 2017

Encore lui ?

Donald Trump a mis en cause, par une série de tweets publiés samedi 30 septembre, les autorités locales de Porto Rico, et en particulier la maire de la capitale, San Juan, d’être responsables du manque de coordination et de l’inefficacité des secours, neuf jours après le passage de l’ouragan Maria. Ben voyons ! « C’est pas moi, c’est elle ! ». Le gros crétin n’a toujours pas compris que la vraie cause de tous ces ouragans est ailleurs. Ce n’est pas les conséquences qu’il faut combattre, mais les causes. Le réchauffement climatique en est un des facteurs. Alors que manifestement c’est de la responsabilité de l’administration fédérale d’aider Porto-Rico, Donald s’en prend à la paresse des Porto-ricains qui tardent à reconstruire. Reconstruire, mais avec quoi ? Décidément le gros imbécile, seulement capable de virer des collaborateurs, est incapable de comprendre, même son propre pays ! Alors que ce ″bas-du-front″ appréhende quelque-chose à la géopolitique, c’est beaucoup lui demander ! Ses réactions à la tuerie de Las Végas en disent long ! Ce qui est inquiétant c’est que la paix du monde repose sur deux dégénérés : Trump et Kim, ça me fait froid dans le dos ! Après tout, qu’avons-nous à perdre si ce n’est la vie ? Ah les cons !