Dans la capitale
du Zimbabwe : Harare, C'est la joie, IL EST PARTI ! l’armée fait tout pour entretenir une impression de
normalité. Mais la situation pouvait basculer d’un moment à l’autre, si le
président Robert Mugabe refusait de se retirer. Voilà un coup d’état militaire
qui n’en n’est pas un, ou plutôt qui n’ose pas dire son nom et qui en évite tous
les stigmates apparents. Pourtant il y avait de quoi bousculer ″Bobby″ dans
les orties ! Ce triste sire est un de ces effroyables dictateurs qui
s’accrochait au pouvoir par tous les moyens, malgré ses 93 ans passés. Il
partageait cette obstination avec les morpions. Il faut dire que la première dame,
surnommée : ″Gucci″, en raison de son goût pour le luxe, n’était pas pour
rien dans cet acharnement. À eux deux ils ont réussi la performance de faire
dégringoler le pays au 155e rang sur 190, dans la liste des pays par
indice de développement humain. Il me souvient que la société à laquelle je
collaborais, il y a…, avait signé un contrat pour fournir la bibliothèque
nationale installée à Harare.
Nous ne vendions et installions que les équipements scientifiques et
techniques. Une fois le matériel livré et payé, nous attendions patiemment que
les murs soient construits. Deux ans plus tard, sans nouvelle, un voyage
d’inspection nous avait révélé que non seulement les bâtiments n’avaient pas
avancé, mais la première pierre posée en grande pompe, avait été
volée pour en récupérer le cylindre de cuivre contenant le parchemin
inaugural. Bien sûr tous les équipements offrant quelques intérêts, dont deux
véhicules, avaient disparu. Pas perdus pour tout le monde ! Hélas je ne
pense pas que le successeur âgé de 75 ans ou les militaires moraliseront la vie publique, mais tout ce petit monde va se
déchirer la dépouille. Et l’opinion mondiale
dira : « Mais au moins du temps
de Mugabe, il y avait la paix ». Les pauvres Zimbabwéens n’ont le
choix qu’entre la peste et le choléra. D’un despote à une junte militaire. Ah les pauvres ! Mais surtout : ah
le vieux con !
Pourquoi ce blog ?
Ce blog, non subventionné par le Qatar, cependant pas moins niais qu'un autre, est destiné à promouvoir les idées républicaines mais aussi à évoquer l'aspect étrange de notre société et puis, enfin faire un peu de bruit autour de mes livres...
vendredi 24 novembre 2017
vendredi 17 novembre 2017
GRRRRR
Jusqu’où va se
nicher l'imbécillité des extrémistes ? Avec la nouvelle orthographe dite ″inclusive″,
on atteint des sommets de la bêtise ! Je me demande ce que mes petits-fils vont devenir,
eux qui sont déjà bien embarrassés avec la grammaire actuelle. Si le féminisme
n’a rien trouvé de mieux que l’orthographe pour promouvoir les femmes, je crains
fort qu’elles continueront d’être les victimes des exactions multiples dont
elles sont déjà les proies. Si, en plus, elles deviennent les martyres du
féminisme où allons-nous ? Car n’en doutons pas, cette mauvaise blague
risque de leur retomber sur le coin de la figure, en nous faisant détester,
quel que soit notre genre, le féminisme et ses représentantes. La langue
française est en perte de vitesse, partout dans le monde, au bénéfice du
mauvais anglais. La raison en est sa complexité. Pourquoi : amour, délice
et orgue sont masculin au singulier et féminin au pluriel ? Pourquoi
dit-on UNE chaise et UN tabouret ? Etc., etc. Tous deux supportent les
mêmes culs ! Si en plus on en en rajoute dans l’alambiqué, ce pauvre français
risque fort d’en crever, y compris chez nous. En revanche, nous sommes une
multitude dans le monde à parler le ″Arafat″, soit l’anglais de bazar :
« I make forrr you a good prrrrice,
a verrry special prrrice… ». C’est ce que nous entendons de Brasilia à
Djakarta et de Moscou à Ouagadougou dans les boutiques d’artisans. En plus il
faut modifier tous les logiciels de traitement de texte, le point médian
n’existe encore pas, sauf dans les caractères spéciaux. Finalement je suis
vachement satisfait de savoir que je ne verrai pas tous ces faux progrès, je
compte bien être devenu un petit tas de cendres avant ! Je vais continuer à
écrire mes petits polars avec l’ancienne méthode, tant que je peux encore le
faire. Mes sœurs en humanité réagissez, ne vous laissez pas faire ! Que
l’on féminise ″pompier″ en ″pompière″, pourquoi pas ? Cela ne me gêne
pas ! Mais revoir toute la grammaire est une gigantesque connerie !
Pardonnez-moi d’utiliser ce mot désignant depuis le moyen-âge votre vulve si
respectable, pour stigmatiser une imbécilité, mais je n’en trouve pas d’autres
pour dire : « Ah les con·ne·s ! »
vendredi 10 novembre 2017
Même elle ???
Élizabeth II
éclaboussée par le scandale financier des "Paradise Papers" ! D'après plusieurs médias britanniques,
dix millions de livres sterling d'avoirs de la reine d'Angleterre, auraient été
investis aux îles Caïmans et aux Bermudes. La BBC et The Guardian ont
conjointement mené l'enquête, impulsée par le Consortium international des
journalistes d'investigation (ICIJ), à partir d'une fuite massive de 13,5
millions de documents financiers. Nous savions depuis quelques années que la
morale n’étouffait pas la cour d’Angleterre, mais là c’est le pompon ! Finalement,
il n’y aurait que ma pomme qui ne dissimulerait rien aux iles Caïman ? Et
pour cause, je n'ai rien à planquer ! ☹ N’y aurait-il qu’une seule morale universelle,
celle du fric, du pez, du pognon, des pépètes, de la joncaille, des talbins, du
blé ? Quand l’exemple vient de si haut, comment dans ces conditions
expliquer aux petits dealers de banlieue le respect du Travail honnête, lui qui
camoufle ses bénéfices dans son jardin ? Dans ce milieu le danger ne vient
pas du contrôle fical, mais de la concurrence. Il ne suffit pas à cette vieille
bique d’être la première propriétaire foncière de France pour les terres
agricoles, il faut en plus qu’elle en planque les bénéfices, comme un vulgaire
Cahuzac ! En France nous avons décapité un roi pour moins que ça ! Ah la vieille conne !
vendredi 3 novembre 2017
SISI impératrice ?
Notre président
jupitérien a reçu le maréchal Sisi
(Pas l’impératrice, non l’autre, le triste sire). Pour la France, ce ″brave″
garçon était un épouvantable dictateur…Était,
tant qu’il n’achetait pas de rafale à la France. Dans le cas contraire
il devient immédiatement fréquentable ! Vous comprenez, il faut se mettre dans le contexte égyptien ! Même
pathologie que le syndrome Paul Bismuth-Kadhafi. À cette différence près que le
Lybien s’est payé la tête du mari de la chanteuse oups pardon !
de la diseuse. Le bédouin a planté son chapiteau sous le nez des Parisiens et
quand il s’est agi de signer un contrat d’armement avec le ″nain hydrocéphale″,
il lui a fait un pied-de-nez (pour ne pas dire un bras d’honneur). Financer une
campagne électorale est une chose, acheter des avions dont personne ne voulait
(à l’époque) en était une autre. Paul Bismuth qui n’en n’était pas à sa
première colère, lui envoya quand-même les rafales,
mais cette fois gratuitement, pour lui larguer des bombes sur la figure et, en
Kinder-surprise, nos services spéciaux pour lui savonner la planche vers le
paradis des dictateurs lynchés. O tempora
o mores ? Que nenni ! Tout change pour que rien ne change. Le ″président-qui-marche-sur-l’eau et guérit-les-écrouelles″,
déroule le même tapis rouge à l’Égyptien pour une rafale de commandes d’armement
et du même coup rendant une respectabilité internationale au pharaon-despote.
Ah les cons !
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