Les Anglais,
embourbés dans leurs contradictions, ne savent plus que faire : « avancer ou
reculer ? » Continuer c’est
se détacher définitivement de l’Europe avec les conséquences dont on ne cesse
de nous rebattre les oreilles. Revenir en arrière après un second référendum,
c’est se ridiculiser aux yeux du monde entier ! À chaque fois que leurs
sociologues, leurs économistes tirent la sonnette d’alarme, les Anglais
disent : « Mais on ne nous nous avait pas dit tout ça !». En
allant voter ″non″, ils ne savaient rien des files camions qui s’étireraient
sur leurs routes avant de prendre les ferrys ou le tunnel, ni rien de la
frontière douanière entre les deux Irlande, ni des velléités d’indépendance de
l’Écosse qui, elle, souhaite rester en Europe. Aujourd’hui les Anglais sont
comme quelqu’un qui aurait tiré la bûche du dessous et qui aurait pris tout le
tas de bois sur la figure. Cependant, ce que l’on dit moins, c’est
qu’économiquement le Brexit serait aussi une catastrophe pour l’ensemble de
l’Europe et ce gros crétin de Trump n’attend que ça ; il ne rêve que de
divisions. En revanche cette phase de prise de conscience doit faire réfléchir
les autres candidats au départ, l’Italie en premier. Dans les textes, rien
n’étant prévu pour un départ, les conséquences restent largement inconnues pour
tous. Le pire c’est que cela abîme, encore un peu plus, cette belle idée
Européenne. Toutefois cette crise risque d’être salutaire pour une Europe qui
se cherchait politiquement depuis sa création. Les citoyens britanniques
peuvent dire de leurs dirigeants : Ah les cons !
L'Europe a été construite sur de trop mauvaises bases, elle a ignoré l'humain pour favoriser les transaction commerciale, ce sont les financiers qui ont pris les rênes et ont méprisé les peuples, l'Angleterre fait une connerie avec le brexit, mais si l'Europe ne revoit pas sa stratégie de fonctionnement elle fera une connerie encore plus grande, car les défection vont s'emplifier
RépondreSupprimerAmicalement
Claude
Jusqu'à ce qu'on me prouve que l'Europe est bonne pour moi, je continuerai de penser que les Anglais ont bien fait de se sortir de cette bourbier merdeux
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