…mais tout simplement en MORALISANT la vie
publique ! Comment moralise la vie publique ? Oh c’est très
simple ! : Par exemple, ce cher Thomas Thévenoud, à la suite de son procès pour
non-paiement de ses impôts n’est condamné qu’à cinq années d’inégibilité.
Autrement dit, nous pouvons le revoir siéger au parlement dans cinq ans ? Non !
pour moi, condamnation, même minime = inégibilité À VIE ! radié à jamais de la vie publique. Cette classe
politique, comme sous l’ancien régime défend ses privilèges becs et ongles. Voilà
donc la deuxième réforme : Pas plus de deux mandats consécutifs. Il faut
faire en sorte que la politique ne soit plus un métier, mais un engagement au
service du pays, pour un temps donné. Nous commençons à avoir la réputation
dans le monde d’une république bananière. L'ONG Transparency International
a publié, le 25 janvier dernier, son évaluation annuelle de la perception de la
corruption dans le monde. La France
reste à la 23e position mais avec une moins bonne note qu'en 2015 ! Si nous
laissons les politiques organiser leur petit domaine, jamais ils ne se feront
de tort entre eux. Cependant la rémunération des élus doit être suffisamment
attractive pour inciter des vocations, ma non troppo. Toutefois le contrôle
du patrimoine avant et après un mandat doit être drastique et les sanctions en
cas de fraude à la hauteur de la prévarication commise. Comment expliquer à
toute une jeunesse exclue de l’emploi, que les politiques ont des droits qu’eux
non pas ? Même si la majorité des élus est honnête, les tentations sont
nombreuses de tremper les doigts dans le pot de confiture houps,
pardon ! de se faire payer des costumes sur mesure à 22 000 €. « Je ne vous demande pas de m’aimer, mais de
voter pour moi ! », finalement « vox populi, vox dei, il s’est fait tailler un costar ! hihi»
Ah les cons !
Lamentable!
RépondreSupprimerPeu importe le résultat de cet élection, c'est déjà réglé comme du papier à musique 🎶. Je suis persuadé que les futurs historiens liront cette période comme l'occasion manquée du peuple de reprendre sa république.
RépondreSupprimerBzzz...
Jeanmi Président !
RépondreSupprimerJeanmi président !
Moralité , moralité toujours des grands mots ! C'est beau de rêver à nos âges !
RépondreSupprimerAh ! Mon cher Jeanmi, voilà sans doute ton meilleur papier ! Jamais je n'ai autant ri… ou plutôt grincé des dents. Moraliser la vie publique, dis-tu ? Nous sommes tous d'accord ! Encore faut-il créer une loi pour ça !
RépondreSupprimerRien de plus facile : il suffit qu'un député prenne sa plus jolie plume et couche sa proposition sur le papier. Jusque là, tout va bien. Puis il faut qu'il la dépose à l'assemblée afin d'en discuter et de trouver une majorité pour la voter.
Autant plonger au milieu d'un banc de requins, on se fait bouffer les bras et les jambes… mais au moins, on garde ses couilles !!!
@Keith Michards
RépondreSupprimerSeuls les hommes plongent ?
Bonjour la parité !
Parmi les grands maux qui gangrènent également la vie politique, on pourrait effectivement parler aussi de la parité. Bien qu'une loi existe en ce sens, certains partis politiques préfèrent payer une pénalité, plutôt que de l'appliquer.
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