Pourquoi ce blog ?

Ce blog, non subventionné par le Qatar, cependant pas moins niais qu'un autre, est destiné à promouvoir les idées républicaines mais aussi à évoquer l'aspect étrange de notre société et puis, enfin faire un peu de bruit autour de mes livres...

vendredi 2 décembre 2016

FIDEL ?

Facile d’être Fidel quand on est Castro ! Oui je sais elle n’est pas neuve, mais elle me plait à moi, na !

Voilà un homme tout en ombres et lumières : Icône révolutionnaire pour les uns, assassin et tortionnaire pour les autres. Les journalistes sont extraordinaires, pour nous donner une idée du sentiment qu’éprouve le peuple à son égard, ils interrogent les Cubains qui font la queue pour pleurer devant son cénotaphe ! Tu penses bien que ceux qui le vomissent ne sont pas là, crétins de journaleux ! La vérité n’est jamais dans le blanc ou dans le noir mais toujours dans le gris. Quand une révolution ou une guerre éclate, on sait quand elle démarre, mais on ne sait jamais où et quand elle s’arrêtera et cela quel que soit l’époque ou le lieu. Cuba n’a, hélas, pas échappé à la règle. Une fois le pouvoir bien en main, Fidel ne l’a jamais lâché et pour le garder il n’a jamais hésité sur la violence des moyens ! Pour m’y être rendu, il y a dix ans, j’ai constaté des avancées sociales magnifiques : la médecine de qualité gratuite, l’instruction obligatoire pour tous, la culture populaire. En revanche aucune liberté de parole et une surveillance constante des touristes par de «gentils-étudiants-qui-sont-ravis-de-nous-accompagner-où-nous-voulons-aller !». Impossible de se promener seul dans les rues. Alors ceux qui vouent Fidel aux gémonies et ceux qui l’encensent sont tout aussi stupides. Mais les journalistes ont besoin de sensations fortes pour les communiquer à leur public, alors on donne dans le pathos, tant d’un côté que de l’autre ! ah les cons !   

9 commentaires:

  1. Quand il n'apparaissait plus qu'en survêtement Arthur qui avait 4 ou 5 ans croyait qu'il était footballeur.

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  2. J'aime bien les jeunes journalistes de Quotidien qui vont partout sans idée préconçue.

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  3. Quand un dictateur s'éteint, on ne peut que se réjouir. Depuis le décès de Castro, tous les spectacles et manifestations publics sont interdits jusqu'au 4 décembre.
    Putain, jusqu'au bout, il les aura fait chier !!!

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  4. Personne n'est parfait mais il est vrai qu'actuellement les journalistes sont très critiqués . A qui la faute ?

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  5. Castro laisse un pays sous dictature, ni plus ni moins.
    Et c'est encore possible aujourd'hui qu'un touriste qui
    fait la conversation avec une personne du coin, voit arriver
    un civile qui demande : " vous parlez de quoi ? madame,
    rentrez chez vous, vous n'avez pas à parler à un étranger".
    Oui, c'est comme ça, encore de nos jours. C'est ça Cuba.
    C'est valable pour tous les pays qui n'ont qu'un système
    politique et un dictateur au pouvoir. Pour l'instant, en
    France, c'est encore la liberté !! profitons-en... ELZA

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  6. je n'ai pas connu Cuba avant et pendant Castro, je n'y ai pas vécu. Les deux sous de sagesse qu'il me reste me fait pourtant craindre encore plus pour les cubains. Le lieu semble attractif et bien juteux.
    Qui vivra verra, sauf Fidel.

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  7. Je dois être vraiment stupide, mais je trouve plutôt
    courageux les propos de Ségolène Royal. Tout le monde
    ( le monde politique, évidemment ) lui tombe dessus .
    Pourquoi faut-il être hypocrite ? elle a dit ce qu'elle
    avait envie de dire. Zut alors... bonne semaine. ELZA

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    1. Attention, entre dire ce que l'on a envie et dire des conneries, il y a quand même une différence ! Nier la dictature castriste, c'est cracher sur la tombe des milliers de Cubains emprisonnés, torturés, exécutés durant des décennies.
      Tiens, aujourd'hui, j'ai envie de dire qu'Hitler était un chic type ! :-(

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  8. BONJOUR et bien je ne sais pas quoi penser disons je ne pense plus car je ne sais pas ou nous allons *
    Je ne suis pas parfaite et dire ce qu'on pense est important pour moi*
    ensuite à voir bien entendu
    bisous

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Sans haine, sans intolérance, sans xénophobie.