À tous ceux qui me font l’honneur de suivre ce blog, j’adresse mes
excuses. Une vilaine maladie m’a retenu dans les griffes de l’hôpital pendant
une quinzaine. Milieu étrange où le malade est dit ″patient″ et il en faut de la patience pour supporter la suffisance des mandarins
qui viennent une fois par semaine, entourés de leur aréopage vous donner, par
condescendance, la bonne parole. Ils sont les ″sachant″, leurs internes, externes,
infirmières les regardent comme des ½ dieux. « On ne dit docteur, mais Monsieur le professeur… »
Toute cette semaine je vais réfléchir à un billet pour vendredi.
Quel plaisir de te retrouver.
RépondreSupprimerVoici un an, un passage accidentel au service de neurologie du CHU de Clermont Ferrand m'a donné tout le loisir de constater la compétence, la disponibilité, la belle humeur, la gentillesse de tout le service des aides soignant et soignantes jusqu'aux chirurgiens; le réconfort qu'apporte aussi tout le personnel des urgences quand le diagnostic est qu'on risque de perdre l'usage de ses jambes... Alors docteur, professeur, on s'en fout un peu!
RépondreSupprimerEt je peux dire qu'en dépit de la situation je garde un très beau souvenir de ce séjour forcé... souvenir dans lequel j'englobe les ambulanciers qui m'ont convoyé de Clermont jusqu'ici.
Et leur travail,mal rémunéré, surchargé pour cause de manque d'effectifs ,n'est pas facile...
Meilleure santé à toi
Chère Almanachronique, vous avez raison ! Je dois dire que malheureusement on ne parle jamais des trains qui arrivent à l'heure. J'en profite donc pour rendre à Jules ce qui appartient à César, à savoir la gentillesses des équipes depuis les femmes de ménages aux internes et tout particulièrement à ces aides soignantes qui venaient bavarder la nuit avec moi pour me remonter le moral. Donc respect et considération pour tous les professionnels de santé hospitaliers qui ne comptent ni leurs heures ni leur bonne-humeur quoi qu'il arrive...
SupprimerMa mission auto-mandatée de ces prochains mois (et peut-être plus)est de prendre systématiquement le contre-pied de toutes les infos négatives dont on nous assassine le moral sur tous les médias. Certes l'état de la planète et de ceux qui l'habitent n'est pas tout rose, mais il y a quand même chaque jour des événements positifs même infimes. Et donc au lieu de balancer des ondes négatives à tout propos et hors de propos je vais tenter d'envoyer du positif...
RépondreSupprimerSi chacun essayait d'en faire autant on pourrait rendre le monde meilleur... Est-ce que ça ne vaut pas le coup d'essayer?
ah! les convalescents.
RépondreSupprimerBzzz...
On t'avais bien dit de ne pas tremper ta nouille n'importe où !!!!! ;-D (ah ! le con !)
RépondreSupprimerBon... tout le monde a raison !! il y a un mois, j'ai eu
RépondreSupprimerdeux hémorragies dans la même semaine ( une varice sur le
dessus du pied gauche). Pompiers et urgences. La première fois,la nuit. Pas un chat dans l'hôpital et un seul médecin
urgentiste totalement incompétent. Au lieu de me recoudre
cette foutue veine qui avait éclaté, il s'est contenté
de me refaire le pansement compressif ( fait par les
pompiers). Merci Docteur et au-revoir. Trois jours plus tard, la veine a éclaté à nouveau dans un jet qui a arrosé
les murs de ma salle de bain. Un des pompiers a dit " on
se croirait dans une scène de crime ". Cette fois, le
médecin (formidable ) a bien prit les choses en mains et m'a
recousu. Bon, je suis sous anti-coagulant, ce qui explique
en grande partie ces enquiquinements. Alors, Jeanmi il y
a des médecins abrutis et Almanachronique, il y a des toubibs épatants et efficaces. Quand aux fameux ( et pas si
fameux bien souvent ) " mandarins ", lorsqu'ils sont à leur
tour au fond d'un lit d'hôpital... ils deviennent les pires
malades qui soient. Je l'ai vécu et je peux dire que les
infirmières et personnel soignant deviennent leurs esclaves.
Quand au côté négatif des commentaires et articles de Jeanmi, je pense qu'il a raison de s'exprimer comme il
le souhaite. Nous autres, tes lecteurs, avons la liberté
de te suivre ou de passer à autre chose. Quand à trouver
du positif à tout crin... ça me semble difficile en ce
moment. J'ai quand même ,peins deux petites toiles, et
je suis prête pour exposer durant les deux week-end
du 21 et 28 mai, quelques toiles ,inspirées par le jazz.
Musique très positive à mon avis !! y compris le blues...
Je vous embrasse tous, et toi aussi Jeanmi , en espérant
que ta santé s'améliore. Deux semaines d'hospitalisation
ça n'est pas rien. Fais bien attention à toi. ELZA
J'espère qu'à présent tu vas mieux, Jeanmi ? Et pour les médecins désobligeants, tu as bien fait de leur tailler ici un chouette stéthoscope ! ah les crétins !!
RépondreSupprimerJ'en déduis donc que ça va mieux, ce qui me rend très heureux.
RépondreSupprimerMais ces vilains médecins, tous les mêmes, partout. Un jour je te raconterai comment j'ai semonce un neurologue il y a deux mois, à l'hôpital justement. Pour te faire sourire, la conclusion tout de même : je l'ai traité de personnage suffisant et incompétent. Et pour finir, je l'ai foutu à la porte de ma chambre d'hôpital ! Le gars, vexé, n'est jamais revenu à mon grand regret. J'aurais remis ça, et il l'a bien senti. Le personnel infirmier rigolait dans son dos. Vraiment excellent pour l'ego.
J'espère que cela va mieux maintenant, mauvais ou bon souvenir, c'est du passé. Bonne soirée.
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