Les diplomates Européens racontent des carabistouilles aux Turcs pour
les inciter à garder les migrants venus du Moyen-Orient, tout en pensant :
« Cause toujours vous n’entrerez jamais dans l’Europe ». Les
mensonges d’État débouchent toujours sur des conflits armés, souvenons-nous des
conséquences sanglantes de la déclaration Balfour, toujours explosives encore aujourd’hui. Mais comme disait Audiard : « Il ne
faut pas prendre les enfants du bon dieu pour des canards sauvages » et
les Trucs, même islamistes s’en rendent bien compte. On est dans un
poker-menteur. Seulement voilà, le problème est bien plus vaste que cela. Si
l’on arrive, par impossible, à fermer le ″robinet Turc″, combien d’autres avec les
beaux jours vont s’ouvrir ? En Libye par exemple, et là ce n’est pas la
Grèce qui est en première ligne mais l’Italie. Des phénomènes migratoires
l’humanité n’est faite que de cela, depuis homo erectus parti d’Afrique pour
coloniser le monde entier. Les mêmes causes produisent toujours les mêmes
effets, les richesses supposées ou réelles des uns attirent les autres aux
ventres vides. L’Espagne et le Portugal ont bien mis en coupe réglée toute
l’Amérique de sud pour lui piller son or.
Vaste et bien inquiétant sujet en même temps qu'insoluble.
RépondreSupprimerFaut bien aux cons une tête de turc pour qu'ils se défoulent !
RépondreSupprimerChaos permanent dans lequel il semble de plus en plus difficile de trouver une harmonie...
RépondreSupprimerJ'ai entendu il y a longtemps "Libre circulation des hommes et des idées " mais je ne connais pas l'auteur ni le pourquoi de ces mots.
RépondreSupprimerAh la mémoire avec l'âge !
Bonjour Jeanmi
RépondreSupprimeron ne doit pas croire que l'esclavage est finie, ceux qui reçoivent sur la tête les bombes des dieux de la guerre sont bien des esclaves car leur souffrance est bien source de richesse pour d'autres, ou est-ce que je me trompe ?
J'ai bien peur que nous ne soyons en face d'une "quadrature du cercle" humanitaire. Bien sûr qu'il faut aider tous ces pauvres gens qui fuient la guerre. Mais où les met-on ? Qu'est-ce que nous sommes en mesure de leur proposer comme avenir… ou tout simplement comme présent ? L'Europe fédérale n'existe pas. Elle a marchandé l'étanchéité de la Turquie, mais quand la baignoire est pleine, l'eau finit toujours par déborder.
RépondreSupprimerFaudrait peut-être demander la solution à l'immense BHL ?
RépondreSupprimerBien à toi.