mardi 22 juin 2010

Étrange, étrange, de plus en plus étrange !...

Démissionner ? Ça n'a "jamais effleuré" le ministre du travail, Eric Woerth. En revanche, sa femme, Florence, démissionnera "dans les prochains jours" de la société Clymène, a annoncé le ministre, lundi 21 juin, à quelques journalistes. Mme Woerth était employée depuis 2007 par cette société, une holding qui gère les intérêts de Liliane Bettencourt, héritière du groupe L'Oréal.

5 commentaires:

  1. Mais pourquoi vouloir démissionner, ces 'gens là' s'accommodent très bien avec leur conscience (qu'on pourrait juger comme défaillante d'ailleurs...)

    Y'a pas de P, jeanmi, il y aura d'autres histoires à se mettre sous la dent, nos politiques s'en occupent
    Bonne journée

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  2. Des enregistrements qui gênent pas mal de monde, car beaucoup touchaient de la manne électorale !!!

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  3. Comment peux tu ne pas faire bénéficier la Madame du Monsieur ministre ainsi que l'époux de la dame , ministre de son état de la présemption d'innocence ?

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  4. Depuis, en creusant un peu, on a découvert que le monsieur qui a embauché madame Woerth à la demande de monsieur Woerth a peu de temps après reçu la Légion d'honneur de la main de monsieur Woerth.
    Dans certains milieux, que le monde est petit !

    Au fait... il semble également établi désormais que la fortune gérée par madame faisait en partie l'objet d'évasion fiscale, évasion que combat précisément monsieur, dans l'exercice des fonctions dont il n'imagine pas démissionner.
    Le chômage a beau ne pas exister pour les hauts fonctionnaires, monsieur Woerth n'est pas ceux qu'on vire... ni de ceux qui s'excuse... et encore moins de ceux qui regardent leurs pompes quand on les prend sur le fait.

    Pendant ce temps, les gueux font les poubelles.

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  5. A noter, dans le numéro de Marianne de demain samedi 26 juin,un article qui apporte la preuve que l'administration fiscale avait dès 2008 tous les éléments pour déclencher une enquête sur cette fortune et ses "arrangements" avec la loi fiscale.
    Au moment où l'embauche se faisait, où la légion d'honneur était décernée, cette enquête ne se faisait finalement pas.

    Quelle étrange république que celle des notables et des gueux !

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Sans haine, sans intolérance, sans xénophobie.