Facile d’être Fidel quand on est Castro ! Oui je sais elle n’est
pas neuve, mais elle me plait à moi, na !
Voilà un homme tout en ombres et lumières : Icône révolutionnaire
pour les uns, assassin et tortionnaire pour les autres. Les journalistes sont
extraordinaires, pour nous donner une idée du sentiment qu’éprouve le peuple à
son égard, ils interrogent les Cubains qui font la queue pour pleurer devant
son cénotaphe ! Tu penses bien que ceux qui le vomissent ne sont pas là, crétins
de journaleux ! La vérité n’est jamais dans le blanc ou dans le noir mais
toujours dans le gris. Quand une révolution ou une guerre éclate, on sait quand
elle démarre, mais on ne sait jamais où et quand elle s’arrêtera et cela quel
que soit l’époque ou le lieu. Cuba n’a, hélas, pas échappé à la règle. Une fois
le pouvoir bien en main, Fidel ne l’a jamais lâché et pour le garder il n’a
jamais hésité sur la violence des moyens ! Pour m’y être rendu, il y a dix ans,
j’ai constaté des avancées sociales magnifiques : la médecine de qualité
gratuite, l’instruction obligatoire pour tous, la culture populaire. En revanche
aucune liberté de parole et une surveillance constante des touristes par de
«gentils-étudiants-qui-sont-ravis-de-nous-accompagner-où-nous-voulons-aller !».
Impossible de se promener seul dans les rues. Alors ceux qui vouent Fidel aux gémonies
et ceux qui l’encensent sont tout aussi stupides. Mais les journalistes ont
besoin de sensations fortes pour les communiquer à leur public, alors on donne
dans le pathos, tant d’un côté que de l’autre ! ah les cons !
Quand il n'apparaissait plus qu'en survêtement Arthur qui avait 4 ou 5 ans croyait qu'il était footballeur.
RépondreSupprimerJ'aime bien les jeunes journalistes de Quotidien qui vont partout sans idée préconçue.
RépondreSupprimerQuand un dictateur s'éteint, on ne peut que se réjouir. Depuis le décès de Castro, tous les spectacles et manifestations publics sont interdits jusqu'au 4 décembre.
RépondreSupprimerPutain, jusqu'au bout, il les aura fait chier !!!
Personne n'est parfait mais il est vrai qu'actuellement les journalistes sont très critiqués . A qui la faute ?
RépondreSupprimerCastro laisse un pays sous dictature, ni plus ni moins.
RépondreSupprimerEt c'est encore possible aujourd'hui qu'un touriste qui
fait la conversation avec une personne du coin, voit arriver
un civile qui demande : " vous parlez de quoi ? madame,
rentrez chez vous, vous n'avez pas à parler à un étranger".
Oui, c'est comme ça, encore de nos jours. C'est ça Cuba.
C'est valable pour tous les pays qui n'ont qu'un système
politique et un dictateur au pouvoir. Pour l'instant, en
France, c'est encore la liberté !! profitons-en... ELZA
je n'ai pas connu Cuba avant et pendant Castro, je n'y ai pas vécu. Les deux sous de sagesse qu'il me reste me fait pourtant craindre encore plus pour les cubains. Le lieu semble attractif et bien juteux.
RépondreSupprimerQui vivra verra, sauf Fidel.
Je dois être vraiment stupide, mais je trouve plutôt
RépondreSupprimercourageux les propos de Ségolène Royal. Tout le monde
( le monde politique, évidemment ) lui tombe dessus .
Pourquoi faut-il être hypocrite ? elle a dit ce qu'elle
avait envie de dire. Zut alors... bonne semaine. ELZA
Attention, entre dire ce que l'on a envie et dire des conneries, il y a quand même une différence ! Nier la dictature castriste, c'est cracher sur la tombe des milliers de Cubains emprisonnés, torturés, exécutés durant des décennies.
SupprimerTiens, aujourd'hui, j'ai envie de dire qu'Hitler était un chic type ! :-(
BONJOUR et bien je ne sais pas quoi penser disons je ne pense plus car je ne sais pas ou nous allons *
RépondreSupprimerJe ne suis pas parfaite et dire ce qu'on pense est important pour moi*
ensuite à voir bien entendu
bisous