« Une guerre des mots », pour le Seattle Times, « quatre-vingt-dix
minutes sans tabou » pour le Tampa Bay Times, un « débat acerbe » qui est le «
condensé » d’une « sale campagne », pour le New York Times… Quelques heures
après la fin du premier débat télévisé opposant Donald Trump et Hillary
Clinton, les médias américains s’accordent, mardi 27 septembre, à décrire une
confrontation virulente entre les deux candidats à la Maison Blanche. Les
éditorialistes sont aussi quasiment unanimes pour affirmer que la candidate
démocrate est la grande gagnante du débat.
Vous allez dire que je m’acharne ! Mais plus je regarde Donald plus
je pense qu’il ″Trump″ son monde. S’il arrive à la maison blanche nous
pourrons trembler pour la paix du monde. Déjà qu’elle est incertaine et
précaire, le crétin peroxydé n’arrangera pas certainement pas les choses. Wait
and see… Ah le con !
Moi aussi il me fait peur le Donald.
RépondreSupprimerJ'ai déjà réservé une place devant ma télé pour le débat du second tour des présidentielles de 2017 entre Sarkosy et Le Pen !
RépondreSupprimerPour le caca politique, je crois qu'on est aussi balèzes que les bouffeurs de Big Mac !!!
Sinon une confrontation entre Philippe Poutou et Jacques Cheminade ne serait pas pour me déplaire… quand on peut faire avancer les idées, faut pas se priver !!!!!
Le candidat républicain à l’élection présidentielle du 8 novembre, Donald Trump, est revenu une nouvelle fois jeudi 29 septembre sur le débat qui l’avait opposé à son adversaire démocrate, Hillary Clinton, lundi. Après avoir incriminé le modérateur, Lester Holt, de NBC, puis un micro selon lui défaillant, le magnat de l’immobilier a estimé que l’exercice avait été « truqué ». M. Trump est ensuite passé à l’offensive en mentionnant une infidélité du mari de Mme Clinton, lorsqu’il était président des Etats-Unis. « Une destitution pour avoir menti. Vous vous souvenez ? », a-t-il lancé lors d’un meeting dans le New Hampshire, en référence à la procédure engagée à la suite de la révélation de la relation extraconjugale de l’ancien locataire de la Maison Blanche avec une stagiaire, Monica Lewinski. Il a ajouté que le couple représentait « un sordide passé ». Lors du débat de lundi, le républicain avait tourné autour de ce dossier en faisant savoir qu’il avait envisagé de le mentionner avant d’assurer qu’il avait estimé qu’« il ne pouvait pas » le faire. Il avait ensuite ajouté qu’il n’avait pas ravivé la polémique « par respect » pour la fille du couple, Chelsea, présente ce soir-là. « Il peut dire ce qu’il a envie de dire, je vais continuer de parler de ce que je crois qui intéresse les Américains », a répliqué Mme Clinton. (Le Monde )
RépondreSupprimerAh ! Ce Donald ! Quel tact, quelle élégance ! (Vous m'arrêtez si je dis des conneries !!!!!)
SupprimerProblème existentiel insoluble: la mèche de Trump va t'elle de la racine aux sourcils ou des sourcils à la racine ??? Peut être dans les deux sens pliée comme une crêpe ?
RépondreSupprimerBien vu jeanmi, s'il arrive au pouvoir suprême aux USA , le crétin peroxydé milliardaire mènera une politique ultra-conservatrice (le pays est habitué et vacciné depuis le temps) pro-guerrière et fera tout pour isoler les USA du reste du monde . Un bien beau bordel en perspective et un risque plus fort encore d'une guerre froide plus active avec Vladimir Poutine.
RépondreSupprimerL'acteur Kirk Douglas ( il a 100 ans, mais
RépondreSupprimeril a encore toute sa tête ) a dit que si
Trump passait, l'Amérique aurait un Adolf
Hitler . Ni plus ni moins !!! ça donne " la
chair de poule ".