Pauvre Brésil, obligé de supporter économiquement les conséquences
catastrophiques des bouleversements urbanistiques, écologiques et économiques,
induits par les aménagements olympiques. C’est à tel point que les 70 000
expropriés, non relogés à ce jour boudent les retransmissions télévisées. Je
sais que je vais en choquer quelques-uns(es) d’entre vous, mais je trouve
scandaleux qu’une candidature aux J.O. ne fasse pas l’objet d’un référendum.
Nos élus(es) par vantardise, par calcul politique, par esprit de lucre, se
portent volontaires pour l’organisation des jeux, sans notre avis. C’est à
chaque fois le suspens pour la désignation de la ville organisatrice, sauf que
les dés sont souvent pipés, toujours pour les mêmes raisons : la
corruption. Alors arrêtons ces dépenses somptuaires et inutiles. Combien
d’écoles, combien d’hôpitaux représentent la construction d’un bassin olympique
de canoë-kayak ? A combien d’habitants profitera-t-il ? Combien
d’habitants de Sotchi utilisent la piste de bobsleigh, aujourd’hui ? Quelle perte d’argent en plus dans un pays, le Brésil, qui traverse une crise
économique et politique sans précédent. Tout cela pour un résultat médiocre,
manque de qualité des installations du village olympique, travaux terminés par
des bénévoles étrangers, etc, etc. Par pitié arrêtons le massacre et revenons à
ce qui n’aurait jamais dû dépasser l’organisation d’un championnat d’athlétisme.
C’est Hitler avec les jeux de 1936 qui a politisé le sport. Si Paris écope de
cette calamité, nous n’aurons pas fini de payer des impôts locaux pharaoniques.
Et j’ajoute que pour échapper aux résultats, c’est du domaine de l’impossible.
Il n’y a plus rien qui compte plus dans le monde à l’ouverture de tous les J.T.
Ah les cons !
Espérons que nous ne les aurons pas ces foutus jeux.
RépondreSupprimerCe commentaire a été supprimé par l'auteur.
RépondreSupprimerles habitants des favelas ont pu regarder le feu d'arti"sous" envolés le jour de la cérémonie d'ouverture ! c'est pas du luxe ça ? dommage que leurs gamelles restent vides !!! et qu'ils doivent se contenter de vivre dans les bidonvilles ! ça dérange qui ça ?? pffff............
RépondreSupprimerEt pour comble le dopage qui fait des perdants de pôvres cons !
RépondreSupprimerQuel bande de grincheux! Il faut apprécier les bons aspects. Voyages, réceptions, banquets... Si il ne tenait qu'à moi vous n'auriez pas les jeux que sœur Anne voit venir, maintenant qu'elle est chefesse des maires de grandes métropoles. Ingrats!
RépondreSupprimerBzzz...
L'organisation de ces jeux olympiques, coupe du monde de foot, nous donne une idée des dépenses pharaoniques sur le budget public avec des profits garantis pour les amis. On peut dire que le capitalisme outrancier a encore de beaux jours devant lui.
RépondreSupprimerils ont déjà fait les frais du mondial en 2014
RépondreSupprimerDonnez leur du pain et des jeux !
RépondreSupprimerLes organisateurs des JO du Brésil ont juste oublié le pain !
Pour 2024 la France n'aura pas de souci pour le pain .
Pourquoi en choquer quelques uns? En Suisse, on vote pour ou contre...Les jeux olympiques en Suisse :http://www.swissinfo.ch/democratiedirecte/des-jeux-helvétiques-_le-rêve-olympique-n-est-pas-tout-à-fait-mort-en-suisse/37575956 ...en 2006, les jeux olympiques d'hiver ont été attribués à Turin, à la place de Sion/Valais... coup de bol, cette année la il n'y a pas eu de neige...
RépondreSupprimerSouvenons-nous des jeux olympiques d'Athènes. Maintenant le pays est en faillite. Et que vont devenir les lieux, les locaux, les stades ? C'est comme à Séville........ bref, de quoi se poser des questions. Bon après midi.
RépondreSupprimer