Einstein aurait dit « Si l’abeille
disparaissait de la surface du globe, l’homme n’aurait plus que quatre années à
vivre ».
Le dossier aura été l’un des plus emblématiques, mais aussi des plus
épineux du projet de loi pour la reconquête de la biodiversité, de la nature et
des paysages, examiné par l’Assemblée nationale en troisième lecture du mardi
21 au jeudi 23 juin. Dans la nuit de mercredi à jeudi, les députés ont interdit
les néonicotinoïdes, cette famille de pesticides reconnus nocifs pour les
abeilles et les insectes pollinisateurs et, plus généralement, pour
l’environnement et la santé humaine.
Bien-sûr il faudra attendre 2018 pour que cette loi soit appliquée. Et
encore la majorité est faible 36 voix pour, 31 contre. Autrement dit il y a
encre 31 députés intoxiqués par le lobby de la chimie américaine. On sait que c’est
mauvais mais on y va quand-même ! Comment
peut faire encore confiance à des élus capables de s’opposer à des choses aussi
évidentes. La différence entre le bien et le mal n’est très compliquée à démêler,
c’est le choix entre la vie et la mort. Ah les cons !
ça n'est même plus " Ah... les cons ", mais
RépondreSupprimer" Ah... les assassins " . L'humanité est en train
de s'exterminer . Sur ce je vais me mettre au lit,
mais avant ,je vais manger une cuillerée de très
bon miel.... Bonne nuit. ELZA
Oserais-je détourner ta question : « Comment les électeurs peuvent-ils encore voter pour des élus capables de s’opposer à des choses aussi évidentes. »
RépondreSupprimerSinon, toujours pas de nouvelles des écolos du gouvernement ?!?!?
il y a cela aussi Jeanmi:
RépondreSupprimerhttp://www.liberation.fr/futurs/2016/06/23/pesticides-et-huile-de-palme-double-recul-sur-la-loi-biodiversite_1461511
Effectivement, c'est pas bien compliqué, choisir la vie ou la mort. Mais il semblerait qu'une grande majorité n'a pas encore compris la simplicité de la chose...
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