Vous étiez 8, nous sommes 67 millions, vous avez perdu de toute façon !
Nous ne changerons jamais notre style de vie chèrement arraché à la barbarie
nazie, il y a 70 ans. Ils étaient autrement plus sauvages et plus nombreux, ces
cons là et ils sont six pieds sous terre ! Plus vous nous frappez, plus
vous renforcez notre cohésion nationale. Quelle gloire y a-t-il à tirer sur des
innocents désarmés? Tu parles d’un courage ! Cette pauvre Marseillaise
était tombée en désuétude depuis bien longtemps, à présent tous nos jeunes la
chantent avec émotion, ça au moins vous nous l’avez fait gagner, ah que vous
êtes cons !
la peur, la vraie, pétrifie, tétanise.
RépondreSupprimerCe n'est plus la même guerre - Nous avions l'ennemi en face - Aujourd'hui, moins nombreux c'est vrai, mais d'autant plus dangereux, ils sont partout et nulle part ces hommes sourds et aveugles, fermés à toute raison, embrigadés qu'ils sont dans la folie d'un idéalisme pervers et inhumain ! Mais il faut garder courage et se battre.
RépondreSupprimerTu as parfaitement raison JeanMi, et très bien résumé la situation : si nous sommes chamailleurs comme les gaulois d'Astérix, ils ne savaient pas qu'il nous suffit d'un "Valmy" pour souder l'unité nationale. Merci !
RépondreSupprimerJ'aimerais parfois, entendre quelques mots de compassion pour les familles des assassins... J'imagine ce que peut ressentir une mère, un père dont l'enfant s"est fait exploser pour une cause criminelle. N'oublions pas que ces assassins sont aussi des victimes.
RépondreSupprimer"Le sang de l'ennemi, c'est toujours le sang des hommes" a dit Louis XV à la bataille de Fontenoy.
Sujet difficile, j'ai plus de compassion pour les parents des enfants tués ce jour-là et je sais hélas de quoi je parle...
SupprimerMême pas peur non plus...
RépondreSupprimerJe n'ai pas encore trouvé les mots...
RépondreSupprimerJeanmi j'aime beaucoup ce que tu as écris à propos de ces
RépondreSupprimerabominables évènements. C'est très juste. Nous entrons dans
une période de terreur et il va falloir résister. Nous allons devenir
coûte que coûte " des résistants". Et surtout beaucoup réfléchir...
Quand aux propos de Almanachronique, ils me mettent en
mémoire cette mère du dingue-barbare qui a tué 38 personnes
sur une plage de Sousse ( en Tunisie ) il n'y a pas si longtemps,
et qui disait aux journalistes " non... ça n'est pas mon fils ", malgré
les photos et films . Cette malheureuse avait pété les plombs et
refusait obstinément de reconnaître le visage de ce fils. C'était
tellement impensable cette barbarie, qu'elle a dû rester
définitivement dans le déni ( du moins je le suppose). Toutefois,
pour ces derniers évènements, j'avoue que je ne peux avoir
aucune compassion pour les tueurs. Ma compassion va
vers les personnes touchées, leurs familles et amis. Oui...
j'ai vraiment pleuré , après avoir découvert qu'une telle
horreur pouvait être possible. ELZA
Bien dit et bien écrit !
RépondreSupprimerDieu ! Mais que Marianne était jolie
RépondreSupprimerQuand elle marchait dans les rues de Paris
En chantant à pleine voix :
"Ça ira ça ira... toute la vie."