« Si ce que tu écris ne te fait pas rire, si
ce que tu écris ne te fait pas pleurer, c’est que c’est mauvais » me
disait mon ami Pascal. Autrement dit il faut être partie prenante de l’histoire
que l’on raconte. Écrire c’est mentir peut-être, mais surtou SE mentir sûrement.
J’en reviens à un précédent article sur la schizophrénie de l’auteur, il doit
se dédoubler, comme l’acteur de sa propre histoire, même si elle est écrite à
la troisième personne. Comme disait Flaubert : « Madame Bovary, c’est moi ! », que l’on veuille ou non, il
y a du "MOI" de l’auteur dans chaque livre, à vous de le deviner…
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