Cette cucurbitacée me rappelle un vieux magasine iconoclaste que les moins de 50 ans ne peuvent pas connaître : « Pilote avec le concombre masqué ». Oui ! Je sais, cela remonte au précambrien et il faut avoir recours au carbone 14 pour se souvenir.
Cela dit ce légume devient aussi fatal que ben Laden lui-même, peut-être est-ce même sa vengeance posthume ! Fini la grippe H1-N1 et les 2 millions de doses que la Roseline essaye de vendre tous les weekends à la sauvette dans le métro. Billevesées que la grande peste de Marseille du 18e siècle, voici venir la mort verte, le concombre assassin, le concombre qui tue (là, il faudrait une musique wagnérienne).
Même si sa forme et sa taille faisaient rêver un certain « trousseur de soubrettes » (Jean-François K tu as encore dit une connerie !). Le voilà cloué au pilori le pauvre, pas DSK non c’est déjà fait, mais le concombre.
Que mangera Louis, mon petit fils, dont c’est la seconde mère nourricière ? Je ne sais ! En attendant, avec la sécheresse annoncée, le concombre risque fort, lui aussi d’avoir bien du mal à survivre, car il est gros consommateur d’arrosage, le bougre !
Ah que je suis heureux d’avoir vécu jusque là pour connaître tous ces événements planétaires qui me font mourir … de rire !
J'avais bien fait un commentaire mais il a disparu . Donc je disais que mourir d'amour oui mais pas après l'ingestion d'un vulgaire concombre espagnol......Bon Louis n'a pas a changer son régime , le suspect est blanchi .
RépondreSupprimerUn adepte du concombre masqué, chouette! Je suis fan de ce cucurbitacé, rebaptisé Monmombre casqué, par les contrepétrants.
RépondreSupprimerMerci de votre visite. A quelle porte de périph se trouve la Cité des fleurs?