Comment l’Italie, pays du bon goût, en était arrivée là ? Ne serait-ce pas par manque d’une classe politique d’opposition à la hauteur des enjeux de ce début de millénaire ? Toutefois ne nous moquons pas de nos voisins, n’en sommes-nous pas au même point avec notre Berlusarko ? Dans la perspective des élections il semble se calmer, moins de bling-bling, moins de vulgarité. Cependant souvenons-nous du panégyrique qu’il fit à Berlusconi et devant lui, l’année dernière. C’est l’histoire qui juge, que restera-t-il de ces histrions dans trois siècles ? Si nous nous souvenons du regretté président Félix Faure ce n’est pas pour la pertinence de sa gouvernance.
j'adore regarder dans le quid les statistiques sur les morts non naturelles des empereurs romains, terrifiant ! Et édifiant.
RépondreSupprimerPS: j'ai longtemps vécu à deux pas d'Asnières.
Donc Berlusconi restera dans les annales au même titre que Félix faure dont la connaissance venait juste de disparaître par l'escalier de service .Giscard s'est retrouvé piègé par un laitier et DSK est tombé en pleine gloire à cause d'une guinéenne , lui qui avec le FMI mettait l'Afrique a genoux .
RépondreSupprimerOn ne peut vraiment pas confier notre destin aux hommes !
@ Marianne
RépondreSupprimerCatherine de Médicis fut en effet une femme d'un calme politique olympien. Catherine II de Russie un modèle de vertu et de tempérance sexuelle. Et ce ne sont que 2 parmi tant d'autres ! L'égalité entre les hommes et les femmes en terme de brutalité ou de violence politique est largement partagée, comme la femme de Ben Ali...
Je plaisantais ,quoique ces deux Catherine n'ont pas été élues !Quand à la violence politique je pense que nous avons encore beaucoup à apprendre et j'espère que nous trouverons d'autres armes . Sans rancune, on vous aime !
RépondreSupprimerTu as raison, Marianne, les femmes sont bien moins vindicatives que les hommes, sauf Madame Thatcher, bien sûr! Nous vous aimons également et comment!
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