De retour au pied du mur je commençai à tenter de desceller
la première pierre, travail harassant qui me prit le restant de
la journée, ainsi que toute la matinée du dimanche. C’est à
onze heures que le premier moellon se mit à bouger, dans un
premier temps je le tirai vers moi millimètre par millimètre.
Au léger souffle qui me caressa le visage je décidai de le
pousser vers l’intérieur de la cavité. La taille de la pierre me
permit tout juste de passer la tête avec le casque à la main
pour projeter la lumière devant moi. Je me trouvai bien dans...
à lire dans "Eranges Nouvelles"
Quel plaisir de trouver sur le net le blog de l'auteur d'un si agréable recueil de nouvelles !
RépondreSupprimerLongue vie au talent !
A quand le suivant ?
Prems!
RépondreSupprimerPourquoi y aurait-il de la haine, un peu parano le jeanmi.
Mab
Ça te ressemble bien ces nouvelles!
RépondreSupprimerUn autre vite!
Vive les grands parents qui se servent de leur cerveaux !
chouchou